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God of War est un des meilleurs beat them all que le jeu vidéo n’ai jamais connu. A l’époque de la PS2, il était le concurrent direct de Devil May Cry, dont il en ressort de nombreuses références de gameplay et sur PS3, avec donc ce fameux God of War 3, était un concurrent de poid face à Bayonetta ou encore Dante’s Inferno. Mais le troisième opus de l’hisoire du Fantöme de Sparte était un poid lourd dans le domaine du jeu d’action ultra violent et est donc resté au panthéon des meilleurs jeux de la PS3. Mais qu’en est-il du Remastered sorti sur PS4.
Ps: dans ce test, nous reviendrons surtout sur les nouveautés apportés en thèrme de gameplay et d’améliorations techniques et graphiques, nous aborderons tout de même le scénario et les mécaniques de gameplay mais elles n’ont pas changé d’un fil par rapport à la version PS3.
God of War, quésaco?
Dans ce test, je ne vais pas relater ce qu’il se passe dans God of War 3 mais je vais évoquer la mythologie derrière God of War, puisque God of War 3 est la suite directe des deux premiers opus (si si je vous jure). Il se peut qu’il y ai du spoil, mais si vous n’avais jamais joué à God of War et que vous voulez passé directement au 3, je vous conseille de lire ce passage. L’histoire de God of War que vais raconter ne sera en aucun cas exhaustif mais permettra de relier quelques points clés.
Kratos est l’anti héro par excellence. S’il incarne bien la violence et la haine, le Fantôme de Sparte est aussi rongé par les remords et la culpabilité de son passé. D’ailleurs, et c’est point contral du scénario, le surnom du Fantôme de Sparte vient d’un événement ultra tragique de sa vie. En effet, étant encore un jeune commandant de l’armée de Sparte, Arès ordonne à Kratos de détruire un village à la gloire d’Athéna. Après avoir fait ce massacre, Kratos réalisa qu’il avait tué de ses propres mains et sans avoir réfléchi, sa propre femme et sa fille, Calliope. Suite à cela, l’oracle lui lance un sortilège, de ce fait les cendres de sa femme et de sa fille se collent à la peau de Kratos afin de le punir de tous les crimes qu’il a commis. Une sacrée punition que voilà. Par la suite, le Fantôme de Sparte décida de se détacher de Arès, et de donner ses services aux autres Dieux de l’Olympe, dont Zeus, son père.
De cette union avec les Dieux de l’Olympe, de nombreuses quêtes lui sont assignés. Tuer l’Hydre de Lerne, puis tuer Arès sous les ordres d’Athéna, puisque Arès attaque la ville d’Athènes. Le meurtre d’Arès sera le but final dans God of War premier du nom. Pour tuer le Dieu de la Guerre, Kratos devra trouver la Boite de Pandore dont le pouvoir qui se trouve à l’intérieur a la capcité de tuer un Dieu. De nombreuses péripéties viendront entacher l’épopée de Kratos.
Ayant tué Arès, Kratos hérite du titre de Dieu de la Guerre. Il devient méprisable et instaure un règne de violence et de terreur. Etant spartiate, il aide son armée à détruire les villes qu’il croise. Mais c’est à Rhodes, que Kratos subit une nouvelle fois, une désillusion. Zeus, ayant réveillé le Colosse de Rhodes (qui est l’une des 7 Merveilles du Monde dans la vraie vie) tente de tué Kratos. Mais ce dernier parvient à déjouer les plans de Zeus. Mais pas jusqu’au bout. Le Colosse, dans un dernier souffle, parvient à écraser littéralement le Fantôme de Sparte de tous le poids de son bras, ce qui permis à Zeus de reprende la Lame de l’Olympe et de planter Kratos au ventre. Ce qui marque son autre caractéristique physique, une énorme cicatrice qu’il arbore dans les opus 2 et 3.
Vient alors une longue descente aux enfers et une alliance avec les Titans, notamment Gaïa, celle qui a élevé Zeus et qui le regrette désormais.
Du fond des enfers, Kratos essaie de retrouver son statut de Dieu, en reprenant petit à petit ses armes et ses pouvoirs. Le tout avec violence et ferveur bien évidemment. Dans God of War 2: Divine Retribution (mon épisode préféré et mon jeu préféré de tous les temps) son but sera de trouver et de détruire les Trois Soeurs du Destin afin de retourner au moment où Zeus l’a tué et l’a trahit. Vient alors un combat épique entre Zeus et Kratos où le Spartiate parvient à faire partir en retraite le Dieu des Dieux mais sans le tué.
C’est donc ici que God of War 3 prend source. Puisqu’à la fin du 2 et on le voit au début du 3, Zeus réunit tous les Dieux, même Hadès, afin de s’allier pour détruire les Titans et donc en même temps Kratos. Dans God of War 3, les Dieux vont mourir les uns après les autres. Ce qui vaudra le chaos et la désespérance dans le monde des mortels. De plus, Gaïa avoue à Kratos qu’il n’était qu’un moyen de plus pour parvenir à tuer les Zeus. Encore une trahison que Kratos subit. Petit à petit, la vengeance de Kratos prendra fin.
Une histoire dense, des graphismes superbes et une bande son parfaite
God of War a toujours été connu pour la beauté et la diversité de ses graphismes. Mêlant à la fois inspiration des fresques grecques mais aussi japonaises, God of War 3 pourrait à lui seule prétendre au Prix Nobel des Oeuvres d’Art s’il existait. Le level design est un des meilleurs jamais réalisé dans un jeu vidéo. Ceci ajoute des arrières plan en mouvement d’un intensité rare. La caméra, à l’inverse des jeux d’actions actuels, ne bénéficie pas des rotations du stick droit (ce dernier sert à esquiver) ce qui rend les plans de caméra à tomber. Ce qui immerge le joueur entièrement dans les douleurs de Kratos.
Tout cela s’accompagne de la meilleure bande son qu’il n’a jamais été réalisé dans un jeu vidéo. Des musiques sombres et graves s’entremêlent avec le désespoir du Fantôme de Sparte. En plus, le fond sonore rend le jeu encore plus glauque. PAr exemple, dès que vous arrivez dans le Tartare, toutes les âmes perdues sont en train de crier comme si elles étaient en train de se faire torturer. La VF est excellente et n’a pas à rougir de la VO. Certains dirons que l’acteur français de Kratos en fait un peu trop, pour ma part je trouve que sa puisssance vocale et se hargne entretiennent l’immersion dans la peau et la rage du Spartiate en colère.
Jouissance, upgrade et orbes
Le jeu, malgré ses qualités indiscutables, n’est pas sans quelques petits problèmes. Mais ceci ne seront pas bien graves. Notamment au niveau des phases de plate forme, où quelquefois vous vous retrouverez en bas dû à des petits problèmes de caméra. Car, bien que cette caméra fixe puisse immerger le joueur, elle pourra en fairte pester certains. Malgré cela, le plaisir coupable qu’on a à démembrer les ennemis se fait bien présent. Capable de réaliser des combos épiques, il faudra avant tout obtenir les armes et de ce fait il faudra les upgradé. Tout au lond du chemin, il y aura ça et là des coffres et des uber-coffres où ils contiendront des orbes rouges. Avec ces orbes, vous augmenterez donc la puissance (et débloquerez des combos supplémentaires) des armes ainsi que des pouvoirs magiques. Il existe de nombreux combos, mais pas énormément ce qui ne demandera pas de retenir pléthore de combos.
En plus des orbes rouges, il existe aussi trois autre type d’orbes. Le premier, celui que vous voudrez absolument, sont les orbes vertes qui redonnent de la santé. Enuite, il y a les orbes bleues qui établiront la magie et enfin les orbes jaune ou or, qui permettra de remplir l’autre jauge de magie de Kratos. Celle ci permettra d’utiliser certains objets, notamment la Tête d’Hélios. Afin d’augmenter les jauges des ces 3 sujets, il faudra touver d’autres coffres plus ou moins bien cachés, à vous de les décourir. Les yeux de Gorgones augenteront lka santé, les plumes de Phoenix la magie « bleue » et les cornes de Minotaure la magie « jaune ». Vous aurez également à disposition la Lame de l’Olympe que vous pourrez utiliser dès que la jauge de rage, en bas à droite, sera pleine. Vous verrez alors la vraie puissance de notre cher Fabien Barthez de Sparte.
Qui dit Remastered, dit amélioration technique et graphique…
Déjà à l’époque sur PS3, God of War faisait office de clasue technique et graphique. En effet, le jeu tournait en 1080i et 50fps. Un exploit pour la PS3. Dans cette version Remastered, Sony a fait le grand jeu. 1080p et 60fps constant. Mais cela n’est pas vraiment un exploit, puisque c’est le strict minimum qu’est capable de faire la PS4 sur un jeu de ce type. Et le 60fps sur God of Waz est un vrai plus, étant donné que le jeu est rapide et ne permet pas les baisses de framerate. Le jeu ne souffre d’aucun aliasing, ce qui donne rendu visuel proche de la perfection. Ceci dit, la version Remastered ne s’en sort pas qu’avec les honneurs. En effets, les cinématiques n’ont pas été revues d’un poil. Elle affiche la basse résolution du jeu d’origine. Mais ne voyons pas le mal, il aurait fallu refaire le jeu en entier pour que les cut scene apparaissent en 1080p. Dans son ensemble, le rematered fait le boulot mais manque cruellement d’ambition malgré tout.
… et contenus supplémentaires?
Le point le plus décevant, il n’y a que très peu de choses qui ont été ajoutées. On pense évidemment au mode photo, déjà présent dans The Last of Us Remastered. Mais ce mode photo, lui aussi, manque cruellement d’ambition. Déjà on ne peut pas bouger la caméra, puisqu’on regrettera que God of War n’intègre pas la caméra libre. Et ensuite, vous pourrez zoomer ou dézoomer à votre guise et changer le grain et le filtre de l’image… et c’est tout. Vous pourrez tout de même envoyer vos merveilles sur le PS Share. Une option bien dispensable dont vous ne regretterz pas de ne pas l’avoir utilisée.
On aurait également aimé voir plus de making-off, d’artworks ou encore des éléments a collecter durant nos pérégrinations.
Dans l’ensemble, le GoW3 reste un incontournable du jeu vidéo. Si vous n’avez jamais fait de God of War, celui-ci reste le jeu de la série qu’il faut absolument faire. Entre plaisir coupable de démembrement et suivre la sombre histoire du Fantôme de Sparte, le plaisir sera toujours de la partie. En revanche, si vous voulez vous procurer le jeu pour ses contenus supplémentaires et ses améliorations, vous risquerez d’être quelque peu déçu, puisque cette version Remastered manque cruellement d’ambition.
Quoi qu’il arrive, God of War 3 restera dans les annales du jeu vidéo et cela, pour très longtemps.
God of War 3 Remastered
Pour
Contre
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